Petit à petit façonner les pierres.
Les
empiler, s'arrêter pour jouer,
tout casser puis recommencer
avec
tous les enfants du quartier.
Faire une grande tour où chacun grimpe
et
observe dans le silence
les pays lointains qui sont le reflet
de
sa tête et de son cœur.
Les ailes du jeune perché poussent pour
enfin se laisser aller dans l'élan,
pour
enfin voler.
Cet élan, combien de fois l'enfant l'avait
connu, le cœur palpitant
sans
oser l'écouter,
il l'avait à chaque fois replié en quatre
pour le cacher tout au fond
du
fond de son cœur.
Des mots vrais et bien dits.
RépondreSupprimerMerci.